Cette maison passive est un bâtiment composé d’un bloc A et d’un bloc B, construits sur les mêmes fondations sans dilatation. Elle a une double fonction, à la fois comme résidence et comme restaurant. La climatisation et la ventilation des deux blocs de la maison ont dû être calculées ensemble, mais de manière différente.
Les critères pour cette maison passive étaient de réduire la consommation d’énergie du bâtiment à moins de 15 kWh/m².
Les technologies M.A.R.V.E.L. (système de ventilation contrôlée à la demande offrant des économies inégalées tout en améliorant les conditions de travail du personnel) et des Jets de Captation (économies d’énergie substantielles avec jusqu’à 50 % de réduction des débits d’air extraits) ont été nécessaires pour se conformer aux exigences réglementaires. En outre, des centrales de traitement d’air d’extraction et de soufflage XEU Extenso incluant la récupération de chaleur ont été installées. Et pour garantir la réussite du projet, ces unités Extenso ont été équipées de clapets d’arrêt Halton pour éviter les fuites d’air.
Plus d’informations :
• M.A.R.V.E.L. Technology
• Capture Jet™ Technology
• XEU Extenso Unit
A propos de cette maison passive (voir l’article dans Yeraba Job en langue turque)
Une maison passive très spéciale et extrêmement élaborée est en cours de construction dans le village d’Ovacik à Sile. Cette maison passive, qui est autosuffisante, produit sa propre énergie et l’utilise de manière intelligente, et récolte l’eau dont elle a besoin, servira à la fois de résidence et de restaurant. Situé sur un terrain de 7 acres, le projet n’est pas seulement une maison passive, car il ne se limite pas à la “maison”, mais chaque mètre carré du terrain est utilisé avec des approches et des solutions écologiques.
Il existe un bâtiment appelé blocs A et B, mais il est construit sur les mêmes fondations sans dilatation. Le bâtiment aura une double fonction : il servira à la fois de résidence, qui “peut aussi être un lieu de rassemblement” en cas de situations extraordinaires telles que des tremblements de terre ou des pandémies, et de lieu de restauration et de réception.
Le projet a démarré en octobre 2022 et l’un des éléments qui le rendent spécial est que “le projet ne se terminera jamais”. Car au-delà de la construction d’un bâtiment sur le terrain et de l’aménagement paysager, c’est un écosystème autonome, autosuffisant et en perpétuel renouvellement qui est créé.
